LECTURE THÉÂTRALISÉE : "LA COUSINE BETTE" AVEC VALÉRIE AUBERT ET SAMIR SIAD, THÉÂTRE EN PARTANCE

10/02/2019

Horaires : de 15h30 à 17h00

Public :

La Maison de Balzac accueille le Théâtre en Partance. Valérie Aubert et Samir Siad. L’un et l’autre, grands admirateurs de La Comédie humaine, ils ont choisi de nous faire entendre La Cousine Bette, une des dernières grandes œuvres du romancier, qui constitue avec Le Cousin Pons le cycle des Parents Pauvres.

 

Du 10 février 2019 à 15:30 au 10 février 2019 à 17:00

La Maison de Balzac accueille le Théâtre en Partance. Valérie Aubert et Samir Siad. L’un et l’autre, grands admirateurs de La Comédie humaine, ils ont choisi de nous faire entendre La Cousine Bette, une des dernières grandes œuvres du romancier, qui constitue avec Le Cousin Pons le cycle des Parents Pauvres. La Cousine Bette met en scène la Baronne Adeline Hulot et l'ancien négociant Célestin Crevel, tous deux « victimes » au long cours de la passion dévorante et funeste du Baron Hulot pour les femmes. Ce projet est à l'origine une commande du Lycée Saint-Louis à Paris pour ses étudiants en classes préparatoires scientifique.
Installé dans le territoire, puisqu’il rayonne depuis la Manche, en France et en Île de France, le Théâtre en partance a été fondé en 1996 par Valérie Aubert et Samir Siad, formés l'un et l'autre à l’Ecole du Théâtre National de Strasbourg. Dans leur répertoire, des œuvres qui n'avaient pas été conçues originellement pour le théâtre ont une place de choix. En effet, les comédiens et metteurs en scène pensent qu'à côté des pièces du répertoire, le théâtre a vocation à servir des œuvres littéraires non théâtrales. Car les livres vivent une autre vie au théâtre, le spectateur n'étant pas alors un lecteur passif mais, comme le dit Péguy, un lecteur idéal ; le théâtre, en se mettant au service des grands auteurs, peut alors être un outil incomparable pour aider à mieux entrer dans leurs œuvres. (Les Perses d'Eschyle, Père et Fils de Georges Haldas.  Le Feu d'Henri Barbusse, Andromaque de Racine, Le Bonheur dans le crime et Le Rideau cramoisi de Barbey d'Aurevilly).La Maison de Balzac a souhaité soutenir le travail singulier et engagé, car « élitaire pour tous » de ces passionnés de théâtre et de littérature. « Ainsi , nous pensons que par le "vivant" des lectures théâtralisées, nous engageons la pensée et le sentiment de ces jeunes spectateurs à se mettre en action et en marche , entraînés par notre proposition, sur le chemin de l'accueil de la littérature comme un champs d'expérimentation de la pensée et donc de la vie », nous explique Valérie Aubert.

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