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L'Hommoeuvre

par Nicole Mozet

1799-1839 : apprentissages 1829-1836 : le romancier 1836-1842 : l'écrivain 1842-1850 : La Comédie humaine

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3. 1836-1842 : l'écrivain

En 1837 paraît la première partie d'Illusions perdues, complétée en 1839 par Un grand homme de province à Paris. En  1839, c'est aussi Béatrix, à la fois roman de la Bretagne et de la femme artiste, avec le personnage de Camille Maupin, en partie inspiré de George Sand. 1840, en revanche, est d'abord sous le signe du théâtre, avec les répétitions et les premières représentations de Vautrin et ensuite sous celui de la Revue parisienne : après l'interdiction, qui le désespéra, de Vautrin, la création de cette revue qu'il rédigea pratiquement seul montre encore une fois Balzac rebondissant après l'échec, mais cette nouvelle aventure ne lui procura que de nouvelles dettes. Enfin 1840 est aussi l'année où le titre de Comédie humaine apparaît pour la première fois sous la plume du romancier dans une lettre de janvier 1840 (Corr., IV, 35). Le contrat est signé en 1841.

Le paradoxe du romancier, un peu comme celui du comédien de Diderot, c'est d'avoir d'autant plus besoin de savoir qui il est qu'il prend continuellement le risque d'être quelqu'un d'autre. Il accepte un moi ouvert et volontairement aléatoire. Croyant plus au hasard qu'au destin, il aime ce hasard qui l'a fabriqué avec son aide certes et un labeur toujours recommencé, mais sans vraiment lui demander son avis. Dans La Vieille Fille, on lit que « Le hasard est le plus grand de tous les artistes. » (Pl., IV, 889)  Dans l'Avant-propos, il est même « le plus grand romancier du monde » (Pl., I, 11). Balzac, lui, se veut plus qu'un romancier : un écrivain. Il obtint la gloire qu'il désirait depuis l'enfance par le miracle d'une carrière littéraire qu'il sut forger à son image, en combinant lucidité, chimères et travail. Même ces dettes dont on dit un peu trop qu'elles l'ont forcé à écrire lui ont aussi, en montrant à lui et aux autres qu'il n'était bon à rien d'autre, servi d'alibi pour écrire. On peut lui appliquer la formule qu'il utilise dans un  sens péjoratif dans une lettre à son amie Zulma Carraud du 20 août 1835 : « Ce jeune homme est toute notre époque. Quand on ne peut rien faire, on se fait homme de plume, homme de talent. On se donne le plus beau thème d'existence, parce qu'on ne peut pas prendre le plus vulgaire. » (Corr., II, 717) Cette contradiction entre l'homme et l'oeuvre a fait couler beaucoup d'encre. Mais faut-il s'étonner que le romancier de l'oxymore6 ait été homme d'excès ? L'alchimiste qui transforma en bijoux les plus vils matériaux de la vie n'a eu souvent qu'à puiser dans les zones obscures de son propre coeur et dans les crevasses les plus profondes de son histoire familiale. Il était à cet égard de plain-pied avec son époque.

Faute d'écrits intimes en dehors de la Correspondance, il est plus difficile de parler de sa vie amoureuse. Laure de Berny garda jusqu'à sa mort, en 1836, une place privilégiée auprès de l'écrivain, qu'elle ne put cependant empêcher d'aimer d'autres femmes. En 1832, Balzac reçoit une lettre signée l'étrangère, qui orientera toute sa vie dans une relation amoureuse longtemps fondée sur l'absence. L'histoire finit tristement, puisque lorsqu'il épouse enfin  Mme Hanska, en Ukraine, le 14 mars 1850, Balzac est un homme malade qui n'a plus que cinq mois à vivre. Mais avant, il y a quelque chose de vertigineux dans cette passion si lointaine qu'elle laissait aux deux parties leur entière liberté tout en procurant à leur imagination une nourriture dont l'un et l'autre avaient visiblement besoin. Ce n'est pas diminuer Balzac que de suggérer qu'il a bu jusqu'à la lie, avant les personnages de Proust, le calice du roturier en proie aux plaisirs et aux tourments du snobisme. Ce fantasme, il l'a partagé avec tout son siècle, mais seulement dans la sphère de la passion amoureuse. Outre Mme Hanska, très noble et très riche, les femmes qui ont le plus compté pour lui, après Laure de Berny, furent vraisemblablement la duchesse d'Abrantès en 1825, la marquise de Castries en 1832 et la comtesse Guidoboni-Visconti en 1835. Il eut d'autres maîtresses. Avec aucune de ces femmes, qui l'ont pourtant plus ou moins aimé pour son génie ou sa célébrité, il ne semble avoir retrouvé la même douceur d'épanchement qu'au temps de Laure de Berny. Balzac fut un homme très entouré et sollicité, mais finalement assez solitaire.

 

Lettre de Balzac à la duchesse d'Abrantès (recto) Lettre de Balzac à la duchesse d'Abrantès (verso)

Lettre de Balzac à Madame d’Abrantès
© PMVP, cliché Joffre

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Durant ces années pendant lesquelles l'écriture ne cesse d'engendrer l'écriture, Balzac mène une vie mondaine et amoureuse intense, tout en faisant face à des responsabilités importantes et en multipliant voyages et déplacements. De nouveau, échecs et succès se succèdent. Il n'est pas élu à l'Académie française mais son action en faveur de la propriété littéraire, dans le cadre de la Société des gens de lettres et ailleurs, est essentielle : dans cette bataille professionnelle contre l'exploitation des écrivains, l'honneur est en jeu autant que les intérêts, car il sait que là est sa vraie noblesse, par-delà généalogies et particules.

Cette période qui précéda l'explosion éditoriale de La Comédie humaine fut également celle des premiers voyages hors de France. Le grand voyageur que Balzac deviendra à son corps défendant à la fin de sa vie n'a franchi sa première frontière qu'en 1832, pour aller rejoindre Mme de Castries à Aix-les-Bains, alors ville sarde, puis à Genève : c'est un échec. Il retourne deux fois en Suisse l'année suivante pour rencontrer Mme Hanska. A Genève, la grande dame polonaise et l'écrivain déjà célèbre deviennent amants : c'est la bienfaisante revanche. Les voyages suivants consacrent la réputation européenne de Balzac : à Vienne en 1835, il obtient une audience de Metternich. En 1836, 1837 et 1838 en Italie - à Turin, Venise, Gênes, Florence et surtout Milan, toutes les portes lui sont ouvertes. Plus insolite est l'équipée malheureuse qui le mène en Sardaigne en 1838 en quête d'une mine d'argent à exploiter. Parallèlement, il continue à sillonner cette France du Centre qu'il connaît bien. A la Touraine, il restera fidèle toute sa vie. Il fait aussi plusieurs séjours chez les Carraud à Angoulême et en 1838, à l'occasion d'un séjour près d'Issoudun, toujours chez les Carraud, il passe une semaine à Nohant chez George Sand. La province de La Comédie humaine donne une assez bonne idée de la France de Balzac, à l'exception notable du Douai de La Recherche de l'Absolu, où il n'alla jamais.

 

La Maison de Balzac à Passy

La maison de Balzac à Passy
© F. Langard

 

C'est à l'automne 1840 que Balzac s'installe à Passy, qui était encore un village, dans la maison de l'actuel 47 rue Raynouard abritant la Maison de Balzac. Il s'y installe avec une femme, Louise Breugniot, dite Mme de Brugnol, qui est à la fois sa maîtresse et sa gouvernante et dont Mme Hanska sera fort jalouse. Depuis son départ de Villeparisis, il n'a pas cessé d'habiter Paris, mais souvent extra muros, et quelquefois incognito, pour échapper aux créanciers, aux fâcheux et aux réquisitions de la garde nationale parisienne. Il occupa d'abord un appartement rue de Tournon, puis un autre rue Cassini à partir de 1828. En 1835 il se réfugie sous un faux nom dans le village de Chaillot, rue des Batailles, où il se fait installer le luxueux boudoir qui est décrit dans La Fille aux yeux d'or. Il dispose également d'un pied-à-terre rue de Provence lorsqu'en 1837 il achète à Sèvres, sur la route de Versailles, le domaine des Jardies, qu'il sera obligé d'abandonner trois ans plus tard. Tout en habitant et en travaillant à Passy, il conserve son pied-à-terre rue de Richelieu, dans la maison de Buisson, le tailleur, qu'il a fait entrer comme personnage dans La Comédie humaine.

Dans un passage célèbre de La Cousine Bette, Balzac décrit la création artistique en deux temps : celui de la « Conception » et celui de l'« Exécution ». Mais il sait aussi qu'il y a une troisième phase, qui fait qu'à l'exécution « tout change ». Après 1840, c'est cette troisième phase qui prend de plus en plus d'importance - allant jusqu'à déstabiliser les oeuvres précédentes en révélant ce qui demeurait jusque-là l'implicite de l'oeuvre : la dimension logique plutôt qu'idéologique de l'écriture balzacienne. Dès Le Curé de Tours, le texte balzacien s'est écrit par « retournement » du positif au négatif, pour reprendre l'expression du vicomte de Lovenjoul : un vieux curé égoïste à la place du jeune prêtre enthousiaste que l'écrivain avait d'abord imaginé. Néanmoins, la plupart des romans conservaient, ne serait-ce qu'en surface et en filigrane, le schéma traditionnel de la quête initiatique d'un héros masculin, jeune et plus ou moins valeureux. C'en est fini après 1840, aussi bien dans les récits nouveaux que dans les dernières parties qui viennent couronner Illusions perdues ou Béatrix. Ce phénomène de remise en question sera encore plus net dans Splendeurs et misères des courtisanes et dans Les Paysans. Comment ne pas interpréter dans le même sens la prolifération des personnages féminins en position centrale, que ces femmes soient jeunes ou vieilles, bonnes ou méchantes ? C'est vrai au moins pour Pierrette, Le Curé de village, Mémoires de deux jeunes mariées, Ursule Mirouët, Albert Savarus, La Muse du département, La Rabouilleuse, Honorine, Modeste Mignon, L'Envers de l'histoire contemporaine - qui s'est aussi appelé La Femme de soixante ans - , La Cousine Bette et Le Cousin Pons, à cause de la Bette et de la Cibot.

La mort symbolique du père dans La Cousine Bette, bien que le baron Hulot paraisse  aussi indestructible que s'il avait inventé « l'élixir de longue vie », est beaucoup plus radicale que dans les mises en scène spectaculaires du Père Goriot ou d'Eugénie Grandet. Vautrin aurait-il gagné ? La question, qui pouvait encore paraître se poser dans Le Père Goriot ou la première partie d'Illusions perdues, perd définitivement toute pertinence à partir des années quarante. Baudelaire a été sans doute un des premiers à le comprendre quand il parle du « génie »7 des concierges balzaciennes. Balzac a en fait mené à son terme le projet esthétique esquissé dans la préface d'Eugénie Grandet consistant à donner la vie à un monde informe et incolore. Le temps des pactes avec les pères ou les diables est révolu, remplacé par un pacte esthétique qui a lui aussi son éthique. Tout en s'en défendant par prudence, Balzac a renoncé depuis longtemps à dire le bien, mais non à dire le vrai ni à créer du beau. Rendre beau en décrivant, que le ton soit féroce ou tendre, drôle ou ironique. Dire le vrai non seulement par souci réaliste, mais surtout par une interrogation inlassable sur l'organisation logique d'un monde désormais sous le signe du multiple et soumis au règne de la monnaie. Un monde livré à la guerre des classes et des sexes, qui se cherche un nouveau régime de causalité et dans lequel tous les rôles sont en cours de redéfinition : qui commande qui ? au nom de quelle légitimité ? Qui est le contraire de quoi ? Qui implique quoi ? L'Histoire et ses infinies ramifications est en train de supplanter providence ou destin.

Après une longue résistance, elle consent enfin qu'il vienne la rejoindre à Saint-Pétersbourg pendant l'été 1843. Le voyage d'aller, par mer avec embarquement à Dunkerque, a duré quinze jours. Ce fut un séjour de plusieurs semaines, avec très peu de mondanités, dans une intimité heureuse. Le mariage pourtant sera indéfiniment retardé par le refus du tsar d'autoriser Mme Hanska à épouser un étranger tout en conservant ses propriétés terriennes, sans compter l'appréhension que la situation de fortune de l'écrivain pouvait raisonnablement inspirer. A l'issue de ce premier voyage, Balzac quitte Saint-Pétersbourg le 7 octobre en malle-poste, avant de pouvoir prendre un train à Berlin. Il visite Berlin et Dresde et ne rentre à Passy que début novembre, souffrant d'une forte migraine due à un accident méningé qui n'est sans doute pas le premier. Il ne se remet vraiment au travail qu'en 1844. En 1845, il inaugure une série de grands voyages à travers l'Europe avec Mme Hanska, sa fille et son futur gendre, le comte Georges Mniszech. Ils s'appellent les Saltimbanques, Balzac est Bilboquet. Pendant l'été, il l'emmène en Touraine, et en Provence à la fin de l'année, avant de gagner l'Italie. La laissant en Italie avec les siens, il rentre à Paris en novembre, mais la rejoint à nouveau à Rome au mois de mars suivant. Ensemble, ils se rendent en Suisse. Tous ces voyages sont scandés par des visites dans les musées et des achats chez les antiquaires, dont sortira Le Cousin Pons.

On comprend aisément que Balzac, homme des listes et des répartitions, soit devenu collectionneur, sans qu'il y ait pour lui antinomie entre collection et création. Il revient à Paris à la fin du mois de mai 1846 avec des espoirs de paternité qui réactivent le vieux rêve, déjà caressé autrefois au sujet de la Grenadière, d'acheter une maison en Touraine. Cette fois, il pense au château de Moncontour, près de Vouvray. L'enfant devait s'appeler Victor-Honoré et ne verra jamais le jour. Moncontour ne fut pas acheté. Balzac repart fin août rejoindre Mme Hanska et sa famille en Allemagne. Pendant toute cette période, La Comédie humaine suit son cours et deux grands romans, parmi les plus puissants que Balzac ait écrits, sont mis en chantier et achevés  : La Cousine Bette, parue en quarante feuilletons dans Le Constitutionnel entre octobre et décembre 1846, suivie par Le Cousin Pons en 1847. Il faut également mentionner Le Député d'Arcis et La Dernière Incarnation de Vautrin.

 

La maison de Balzac rue Fortunée à Paris

La maison de Balzac rue Fortunée à Paris par Cary, vers 1880
© PMVP, cliché Lifermann

 

Wierzchownia

Wierzchownia par Orda et Warszawie
© PMVP

 

Dès 1845, songeant à s'installer à Paris avec Mme Hanska, Balzac s'est mis en chasse d'une maison. En septembre 1846, il achète celle de la rue Fortunée, où il mourra,. Mais il faudra du temps pour installer la maison. Lorsque Mme Hanska vient à Paris en février 1847, le mariage n'ayant toujours pas eu lieu, elle habite rue Neuve-de-Berry, l'actuelle rue de Berri. Balzac est toujours à Passy, travaillant beaucoup. En mai, il l'accompagne jusqu'à Francfort et regagne Paris aussitôt. .Mme Hanska est de retour à Wierzchownia en juin ou début juillet. Balzac l'y rejoint en septembre et y demeure jusqu'en janvier 1848. Déçu par la résistance que Mme Hanska oppose toujours à leur mariage, il quitte Wierzchownia malgré l'hiver et rentre à Paris quelques jours avant la révolution de Février.

Les lettres pour la Russie étant soumises à la censure, il n'est pas facile de savoir ce que Balzac a éprouvé exactement en voyant s'effondrer la monarchie de Juillet. Ce qui est sûr, c'est la catastrophe financière que cela représentait pour lui en littérature, tant du côté de la librairie que du théâtre, et pour Mme Hanska, qui lui avait prêté des fonds pour acheter des actions et aménager la maison de la rue Fortunée. Le 20 décembre, il écrira à sa soeur, de Wierzchownia : « Notre maudite révolution a fait des malheurs incalculables, et qui ne se répareront pas en dix ans. » (Corr., V, 423) Dès le 19 septembre, il est reparti en Russie. Trop malade pour voyager pendant l'été 1849, il reste à Wierzchownia plus longtemps que prévu, jusqu'en avril 1850, travaillant à des scénarii et espérant toujours faire jouer ses pièces à Paris. C'est un homme hanté que le retardement de son mariage torture davantage encore que la maladie. Il ne pense plus qu'à la rue Fortunée et, comme Sophie Gamard dans Le Curé de Tours, il rêve d'un salon à lui :

« Va, Laure, c'est quelque chose, à Paris, que de pouvoir, quand on le veut, ouvrir son salon et y rassembler l'élite de la société qui n'y trouve rien que d'égal à ce qu'il y a de mieux, et d'y trouver une femme polie comme une reine, imposante comme une reine, d'une naissance illustre, parente des plus grandes familles, spirituelle, instruite et belle. Si l'on veut en user, il y a là l'un des plus grands moyens de domination. On compte avec une maison ainsi établie, et bien des gens, des plus haut placés l'envieront, surtout lorsque ton cher frère n'y apportera que gloire et très habile esprit de conduite. » (Corr., V, 523-524)



6 Cf. José-Luis Diaz, « Esthétique balzacienne : l'économie, la dépense et l'oxymore »,  Balzac et La Peau de chagrin, études réunies par Claude Duchet, SEDES, 1979.

7 « Tous ses personnages sont doués de l'ardeur vitale dont il était animé lui-même. Toutes ses fictions sont aussi profondément colorées que les rêves. Depuis les sommets de l'aristocratie jusqu'aux bas-fonds de la plèbe, tous les acteurs de sa Comédie sont plus âpres à la vie, plus actifs et rusés dans la lutte, plus patients dans le malheur, plus goulus dans la puissance, plus angéliques dans le dévouement, que la comédie du vrai monde ne nous les montre. Bref, chacun, chez Balzac, même les portières, a du génie. » (L'art romantique,  XX, « Théophile Gautier »)

 

Consulter :

1799-1839 : apprentissages

1829-1836 : le romancier

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1842-1850 : La Comédie humaine